« Welfare State y biopoder » : différence entre les versions

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El buen gobierno es lo que se hace con las personas en el marco de la contractualización, ya que las personas están a favor del contrato social, lo que lleva a un pensamiento global del contrato social.
El buen gobierno es lo que se hace con las personas en el marco de la contractualización, ya que las personas están a favor del contrato social, lo que lleva a un pensamiento global del contrato social.


= La constitution de l’État providence =
= La constitución del Estado providencial =


== L’avènement du social ==
== El advenimiento de lo social ==
Arendt va dire que l’avènement du social coïncide historiquement avec la transformation de l’intérêt public avec ce qui était autrefois une concurrence avec l’intérêt privé.  
Arendt dirá que el advenimiento de lo social coincide históricamente con la transformación del interés público con lo que antes era una competencia con el interés privado.  
 
Pour Arendt, le social est vivre en société, dans la théorie politique classique il n’y a pas de conceptualisation du social, il n’y a pas reconnaissance de vivre social. D’un côté, il y a le « politikos » (Πολιτικός, Politikos), de l’autre il y a  la famille « oikos » (du grec ancien οἶκος, « maison », « patrimoine ») qui est une privation et une mise en retrait, c’est un espace en retrait ou l’extérieur ne peut regarder la famille.
Para Arendt, lo social es vivir en sociedad, en la teoría política clásica no hay conceptualización de lo social, no hay reconocimiento de la vida social. Por un lado, están los "políticos" (Πολιτικός, Politikos), del otro hay familia de « oikos » (del griego antiguo οἶκος, « casa », « patrimonio ») que es privación y retroceso, es un espacio atrasado donde el exterior no puede mirar a la familia.
 
Le Moyen-âge va se caractériser par une extension du domaine privé ; le grand tournant est l’époque moderne à savoir le XVIème, le XVIIème et le XVIIIème siècle parce qu’on arrive à l’émergence de la sphère du social qui est le glissement du privé vers le social, de l’intime vers le social. La famille rentre dans une économie productive, elle devient une unité de production, elle n’est plus seulement du domaine privé, mais à avoir avec un enjeu lié la question publique.
La Edad Media se caracterizará por una extensión del dominio privado; el gran punto de inflexión es la era moderna, es decir, los siglos XVI, XVII y XVIII, porque el surgimiento de la esfera de la esfera social, que es el cambio de lo privado a lo social, de lo íntimo a lo social. La familia entra en una economía productiva, se convierte en una unidad de producción, ya no es sólo propiedad privada, sino tener con una estaca relacionada la cuestión pública.
 
Le capitalisme fabrique des nouvelles richesses ; dans la révolution industrielle, les conditions des individus s’appauvrissent marquant un dysfonctionnement de la société avec de nombreux problèmes (grèves, révolutions pandémie, etc.). Les industriels puis l’État s’interrogent sur le social (ex-enfants dans les mines) et les enjeux qu’ils représentent.  
El capitalismo produce nueva riqueza; en la revolución industrial, las condiciones de los individuos se vuelven más pobres, marcando una disfunción de la sociedad con muchos problemas (huelgas, revoluciones pandémicas, etc.). Los industriales y luego el Estado cuestionan lo social (antiguos niños en la minería) y las apuestas que representan.
 
Dès lors, la famille devient une unité de production et l’éducation devient un enjeu public. À partir du XVIème et jusqu’au XVIIIème siècle, la sphère privée va diminuer au profit d’une troisième sphère qui est la sphère sociale ou le privé est limité parce qu’il s’oppose au politique et au social.
A partir de entonces, la familia se convirtió en una unidad de producción y la educación en un tema público. A partir de los siglos XVI y XVIII, la esfera privada disminuirá en favor de una tercera esfera, que es la esfera social o la esfera privada se ve limitada porque se opone a la política y a la esfera social.
 
Le social devient au centre de la préoccupation de l’espace public sur la base que si le social n’est pas géré, on court à des catastrophes sociales. La société devient un enjeu stratégique de gouvernement. La question n’est plus d’avoir un espace public du gouvernement, mais sur la nécessité de gérer la société.  
Lo social se está convirtiendo en central para la preocupación del espacio público sobre la base de que si no se gestiona lo social, nos topamos con catástrofes sociales. La sociedad se convierte en una cuestión estratégica de gobierno. La cuestión no es ya tener un espacio público de gobierno, sino la necesidad de gestionar la sociedad.
 
C’est une révolution parce que la sphère du social bouleverse le curseur entre espace public et privé.  
Es una revolución porque la esfera social altera el cursor entre el espacio público y el privado.
 
La famille était par essence du domaine privé. Arendt montre qu’il y a un avènement du social avec un nouveau référent. C’est la réinterprétation de la famille non pas comme un objet privé, mais comme une unité de production. L’éducation devient dès lors un enjeu public renvoyant à la capacité du devenir de la société elle-même. La sphère privée devient la sphère de l’intérêt général.
La familia era inherentemente propiedad privada. Arendt muestra que hay un advenimiento social con un nuevo referente. Es la reinterpretación de la familia no como un objeto privado, sino como una unidad de producción. Por lo tanto, la educación se convierte en un tema público que hace referencia a la capacidad de futuro de la propia sociedad. La esfera privada se convierte en la esfera de interés general.
 
Arendt postule que ce bouleversement proviendrait de Rousseau, car il serait le premier à avoir assumé le glissement du privé vers le social. La période s’entendant du XVIème au XVIIIème siècle se caractérise par le déclin de la représentation du poids de la famille dans la société.
Arendt postula que esta agitación vendría de Rousseau, porque él sería el primero en asumir el cambio de lo privado a lo social. El período comprendido entre los siglos XVI y XVIII se caracteriza por una disminución de la representación del peso de la familia en la sociedad.
 
Apparaît un troisième fait et la société va demander des comptes. On va chercher à fixer des règles publiques ayant pour conséquence de produire des politiques. Des groupes sociaux vont être absorbés dans l’interprétation d’une société unique : c’est la nouvelle sphère de gouvernabilité qui met en jeu l’autorité publique émergeant à travers des tas de dispositifs pour gérer la société.  
Aparece un tercer hecho y la empresa exigirá rendición de cuentas. Se procurará establecer normas públicas que generen políticas. Los grupos sociales se verán absorbidos por la interpretación de una sola sociedad: es el nuevo ámbito de gobernanza el que pone en juego la emergente autoridad pública a través de una serie de mecanismos de gestión de la sociedad.
 
Dès lors émerge une sphère sociale, une sphère contractuelle sociale qui va exiger des comptes à la famille. Maintenant que la famille n’est plus de l’ordre de la sphère privée, il faut rendre des comptes sur ce qui s’y passe à l’intérieur. Le phénomène  de transfert est important parce qu’il y a des règles pour tous qui sont édictées, car les populations sont absorbées par la sphère sociale qui caractérise la naissance de l’État moderne sur la représentation de l’État social en tant que collectivité.
A partir de ahí surge un ámbito social, un ámbito social contractual que exigirá la responsabilidad de la familia. Ahora que la familia ya no forma parte de la esfera privada, debemos rendir cuentas de lo que ocurre en el interior. El fenómeno de la transferencia es importante porque hay reglas para todo lo que se promulga, porque las poblaciones son absorbidas por la esfera social que caracteriza el nacimiento del Estado moderno sobre la representación del Estado social como colectividad.
 
Arendt a permis de poser la structure théorique sur l’avènement du social dans son ouvrage intitulé la condition de l’homme moderne.
Arendt hizo posible poner la estructura teórica sobre el advenimiento de lo social en su obra titulada la condición del hombre moderno.


== Le contrôle social : la folie et le crime ==
== Control social: locura y crimen ==


[[Fichier:Michel Foucault 1.jpg|vignette|Michel Foucault.]]
[[Fichier:Michel Foucault 1.jpg|vignette|Michel Foucault.]]


Michel Foucault est un philosophe de la pensée ayant travaillé sur la société moderne. Il étudie la généalogie des savoirs. Il postule que les sociétés sont construites par un ensemble de savoirs et de techniques, afin de comprendre la société il faut l’analyser non pas comme une chose intangible, mais comme des constructions de sociétés.
Michel Foucault es un filósofo del pensamiento que ha trabajado en la sociedad moderna. Estudia la genealogía del conocimiento. Se postula que las sociedades se construyen por un conjunto de conocimientos y técnicas, para entender la sociedad hay que analizarla no como algo intangible, sino como construcciones de sociedades.
 
La société a des savoirs qui détiennent une historicité. Ils permettent de comprendre le fonctionnement de la société actuelle et ce qui a fait changer les registres d’analyse pour analyser la société comme un construit sociétal.
La sociedad tiene un conocimiento que contiene una historia. Nos permiten comprender el funcionamiento de la sociedad actual y lo que ha cambiado los registros de análisis para analizar la sociedad como una construcción social.
 
Pour Foucault, les sociétés dans lesquels nous vivons ont élaboré des dispositifs qui sont des modes de gouvernement qui ne sont cependant qu’en réalité la façon dont la société se représente elle-même.
Para Foucault, las sociedades en las que vivimos han desarrollado sistemas que son modos de gobierno, pero en realidad son sólo la forma en que la sociedad se representa a sí misma.
 
L’intérêt de Foucault est de mettre à distance nos comportements pour les analyser de façon historique et culturelle.
El interés de Foucault es distanciar nuestros comportamientos para analizarlos histórica y culturalmente.
 
Foucault réalise cette archéologie à partir de deux institutions spécifiques, à savoir l’hôpital et la prison, qui sont deux institutions majeures du XVIIIème et du XIXème siècle. Il rédigea deux ouvrages à ce sujet histoire: De la folie à l’âge classique en 1961, et Surveiller et punir : histoire de la prison en 1964.
Foucault realiza esta arqueología a partir de dos instituciones específicas, el hospital y la cárcel, que son dos grandes instituciones de los siglos XVIII y XIX. Escribió dos libros sobre este tema: From Madness to the Classical Age in 1961, y Monitoring and Punishing: The History of Prison in 1964.
 
C’est une interrogation sur le soubassement des savoirs et des équipements étant entendu que la prison et l’hôpital général sont des équipements qui structurent  la ville. Il va notamment le faire autour de la construction des savoirs médicaux autour des XVIème jusqu’au XIXème siècle s’interrogeant sur comment la folie est devenue un concept opérationnel dans la société. Ainsi la folie est située comme une représentation.
Se trata de una pregunta sobre el sótano de conocimiento y equipamiento, ya que la prisión y el hospital general son instalaciones que estructuran la ciudad. Lo hará especialmente en torno a la construcción del conocimiento médico entre los siglos XVI y XIX, preguntándose cómo la locura se convirtió en un concepto operativo en la sociedad. Así la locura se sitúa como representación.
 
Il étudie les dispositifs de pouvoir : le pouvoir fabrique des équipements et en réalité ils ont  pour fonction de créer un cadre social dispersé à travers la société.
Estudia los mecanismos del poder: el poder fabrica equipos y en realidad tienen la función de crear un marco social disperso por toda la sociedad.
 
=== La folie ===
=== La locura ===
C’est une construction sociale et politique. Elle nous situe du côté des représentations et permet de dégager ce qui relève du normatif. Au Moyen-Âge, tant que Dieu existe le fou est un innocent selon la volonté divine, dès lors la folie est une création de Dieu. Le fou porte en lui une simplicité d’esprit qualifié par Dieu et relevant d’un mystère qui soutient qu’il ne doit pas être maltraité. Parce qu’il est innocent, il a un esprit de tolérance. La relation entre homme raisonnable et la folie relève d’une compassion. La morphologie de la présence de la folie réside dans le village.  
Es una construcción social y política. Nos coloca en el lado de las representaciones y nos permite identificar lo que es normativo. En la Edad Media, mientras Dios exista, el necio es inocente según la voluntad divina, desde entonces la locura es una creación de Dios. El loco lleva en su interior una sencillez de espíritu cualificada por Dios y derivada de un misterio que sostiene que no debe ser maltratado. Porque es inocente, tiene un espíritu de tolerancia. La relación entre el hombre razonable y la locura es compasiva. La morfología de la presencia de la locura reside en el pueblo.  


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À partir du XVIIème siècle, le paradigme de la folie va être placé du côté de la déraison. {{citation|La folie est à l’intérieur de la raison » elle ne relève pas de l’ailleurs, mais de notre monde}}<ref>Montaigne</ref>. Dès lors que Dieu est évacué, la folie est évacuée de la raison devenant une extériorité. La folie relève de la maladie. C’est ainsi que la médecine s’empare de cet objet comme un objet scientifique et trouver des raisons endogènes, c’est une fabrication des institutions de la maladie.
A partir del siglo XVII, el paradigma de la locura se puso del lado de la locura". La locura está dentro de lo razonable "no viene de otra parte, sino de nuestro mundo". Tan pronto como Dios es evacuado, la locura es removida de la razón convirtiéndose en exterioridad. La locura es enfermedad. Es así que la medicina toma este objeto como un objeto científico y encuentra razones endógenas, es una fabricación de las instituciones de la enfermedad. 
 
En particular, surgirá una institución de locura y separación (el hospital psiquiátrico), es decir, un equipo general que permita al loco ser exiliado de la sociedad de hombres libres establecida por el Estado moderno.
 
Es la invención moderna del internamiento, el loco es internado, lo que logra la ruptura de la razón y la irracionalidad, es la invención moderna del aislamiento. Describe un proceso de fabricación por parte de las empresas modernas de un sistema normativo que cambia los umbrales de tolerancia.
 
Foucault muestra que cuando la sociedad introduce herramientas de lectura específicas, el Estado moderno mismo instrumentalizará el tema buscando herramientas técnicas.
 
=== La cárcel ===
Al principio, era una política de tortura o el acusado debe ser penalizado físicamente. Puede que en algunos casos haya sido un lugar de privilegio para los ricos. Vamos a pasar de una pena de castigo a una pena de defensa, donde la prisión va a ser un lugar de reclusión o la estaca está lejos del cuerpo, es decir, la retirada de la sociedad. Ya no es más el castigo del cuerpo, sino el del alma para bloquear a un individuo en aislamiento. La prisión moderna funciona sobre: aislamiento individual, trabajo y la variabilidad de la sentencia. Básicamente, la prisión es lo opuesto a la sociedad, es oscuridad. La prisión es la invención del ilegalismo institucionalizado. La palabra "ilegalidad" se refiere al concepto de normas colectivas en las que todo comportamiento anormal puede ser castigado. Para Foucault, las leyes son sólo el producto de un equilibrio de poder en un momento dado. Los pobres también representan un cierto tipo de amenaza para el orden social. Para manejar el ilegalismo popular, se les dará un conjunto de prescripciones que les permitan encontrar su lugar.
 
La creación del Estado social es la creación de una importante esfera social que se ocupará de la vida de las personas, pero sólo podrá hacerlo si se normalizan su comportamiento y su moralidad. Para Foucault, entramos en un sistema represivo que pertenece al Estado, se convierte en garante de la seguridad colectiva. El Estado se convierte en el garante de la seguridad social, se construirá un sistema donde se ampliarán las prerrogativas para la gestión del individuo.
 
A partir del siglo XIX surgió el nacimiento de la cuestión social, es decir, el hecho de que todos los elementos de la sociedad debían ser tratados para darle unidad y convergencia en sus modos de hacer y obligaciones.
 
A partir de entonces, la cuestión social se considerará en primer lugar como opuesta a las revoluciones.
 
== Teorías de la solidaridad y el paradigma del seguro ==
En Durkheim surge la idea de que sólo se puede pensar en la sociedad a través de una solidaridad colectiva que permita que todos los individuos se unan en torno a un destino común. Lo que no es del orden de la solidaridad será sancionado por el contrario, lo que es del orden de la solidaridad será aprobado y fortalecido. En el siglo XIX, la esfera social sólo puede expandirse. Plantea una compleja relación entre libertad y lo social, la cuestión de hasta dónde podemos llegar para construir la esfera social y hasta qué punto la construcción de la esfera social como campo productivo puede ir sin cuestionar la cuestión de la libertad individual.
 
La solidaridad mecánica en Durkheim es solidaridad en las primeras sociedades, lo que significa que los individuos son mecánicamente solidarios entre sí.
 
Básicamente, la sociedad moderna, que es una sociedad de especialización diferencial, nos hace abandonar la solidaridad mecánica en favor de la solidaridad orgánica, es decir, el hecho de que estamos obligados a ser solidarios a pesar de que hay especializaciones de funciones y tareas en la sociedad.
 
La promoción del sector social representa a la sociedad en su conjunto con el establecimiento de una ley social que ponga en práctica la solidaridad.
 
En el ámbito social, es necesario gestionar a las personas y el interés del Estado es poner en marcha políticas: es necesario gestionar todo lo que concierne a la privacidad.
 
En la creación del estado de bienestar, el tema más importante es el social. Lo más importante es que lo social da lugar a teorías políticas: la teoría de la solidaridad.
 
De este modo, Foucault se pregunta sobre la noción de sociedad y la necesidad de crear un orden político a través de la solidaridad, que exige privilegiar ciertas teorías. Si no hay solidaridad, es el fracaso de la política.
 
Esto justifica la creación del Estado moderno y la construcción de un equilibrio interno, es decir, social. El Estado no puede estar satisfecho por un lado de la esfera privada y por el otro del ámbito privado porque la familia es parte de la sociedad.
 
Surge el Estado moderno, que en el siglo XIX se vio obligado a asumir la solidaridad como elemento de compromiso político e institucional.
 
El Estado se definirá a través de la esfera social como un Estado de servicio público, debe proteger a sus ciudadanos y sólo puede hacerlo creando un espacio de solidaridad social, es decir, un espacio donde las diferencias se tengan en cuenta en un intento de amortiguarlas y reducirlas.
 
La literatura sobre el fin del estado social nos recuerda que desde el momento en que entramos en un mundo liberal donde la política es desposeída de parte de su poder a través de la economía, la política ya no tiene los medios para manejar la esfera social, en el mejor de los casos para dársela al sector privado en el peor de los casos, entraremos en una violencia pura en nuestras sociedades.
 
Para Foucault, lo social se convierte en un objeto de gobierno, ya que toda sociedad está obligada a tomar lo social como un objeto de gobierno.
 
En el siglo XIX, se desarrollaría una economía social que acentuaría la responsabilidad de los Estados en el ámbito social. Entre el siglo XVIII, los años 1850 y 1950, el Estado sólo aumentará sus prerrogativas, lo que explica el concepto de Estado del bienestar, es decir, el Estado se ha comprometido a desarrollar cada vez más los campos del funcionamiento de la sociedad en nombre del interés general de esta gobernación, la cosa técnica debe ser gobernada.
 
La sociedad se convierte en un tema que surge de muchas leyes sociales (anteriormente la Ley de Compensación de Trabajadores: ley de solidaridad entre los que trabajan y los discapacitados). La solidaridad ampliará el alcance de la promoción social y planteará preguntas sobre nuevas áreas fundamentales (por ejemplo, las leyes sobre la vivienda social). El propósito fundamental es reparar las deficiencias de la sociedad: debemos tener cuidado con los que no siguen el movimiento.
 
El Estado debe estar en el corazón de la solidaridad como servicio público, debe crear vínculos entre los individuos y gestionar la contribución de todos a la mejora de la sociedad en su conjunto: debe proteger a sus ciudadanos. El bienestar de cada individuo es una condición necesaria para el funcionamiento del colectivo. Es pensar en la eficiencia del Estado y que el progreso y la riqueza nacional son colectivos e individuales, lo que también revierte a la cuestión del colectivo.


Va  notamment émerger une institution de la folie et de l’outil de la séparation (l’hôpital psychiatrique), c’est-à-dire un équipement général qui permet d’exiler le fou de la société des hommes libres mis en place par l’État moderne.
La esfera social sólo está creciendo, hasta que a finales de los años ochenta se cuestionó la esfera social.


C’est l’invention moderne de l’internement, le fou est interné, ce qui accomplit la rupture de la raison et de la déraison, c’est l’invention moderne de l’isolement. Il décrit un processus de fabrication par les sociétés modernes d’un système de normativité déplaçant les seuils de tolérance.
A finales del siglo XIX se inventó el concepto de seguro, dando lugar a un paradigma asegurador, es decir, construir un nuevo sistema de pensamiento en torno al seguro.
 
Foucault montre que lorsque la société introduit des outils spécifiques de lecture, l’État moderne va lui-même instrumentaliser la question en cherchant des outils techniques.
François Ewald trabajará desde el punto de vista de la filosofía política. Es un concepto filosófico que asume que los individuos están relacionados entre sí. A partir de ahí en adelante, en el trabajo hay respectivas obligaciones relacionadas con las condiciones de trabajo, por lo que Ewald caracteriza al Estado del bienestar por el nacimiento de una nueva ley: el seguro es un sistema sofisticado de gobierno corporativo. Para que esto suceda, la cuestión de la responsabilidad debe estar legalmente calificada.


=== La prison ===
Las compañías de seguros demuestran que forman parte de una compañía de seguros que será capaz de inventar nuevos riesgos como una gran innovación en las sociedades contemporáneas. Esto significa que Ewald estudiará un sistema de seguros mostrando cómo la invención del seguro se construye por pasos filosóficos y conceptuales que son una inversión de las sociedades. A partir de entonces, el accidente ya no era inevitable. Por lo tanto, lo social puede ser clasificado legalmente de acuerdo con la universalidad social. Las necesidades sociales se normalizan en torno al concepto de seguridad y reparación. La ley era un espejo de la sociedad y producía normas para todos. Así, la responsabilidad se convierte en una cuestión de Estado, es la invención del derecho social moderno.
Dans un premier temps, ce fut une politique de supplice ou l’inculpé doit subir physiquement la pénalité. Elle a pu dans certains cas être un lieu de privilège pour les riches. On va passer d’une punition de pénalisation à une punition de défense ou la prison va être un lieu d’enfermement ou l’enjeu est la mise à distance du corps autrement dit le retrait de la société. Ce n’est plus le châtiment du corps, mais celui de l’âme afin de bloquer un individu dans l’isolement. La prison moderne fonctionne sur : l’isolement individuel, le travail, et la variabilité de la peine. Au fond, la prison est l’inverse de la société, c’est l’obscure. La prison c’est l’invention de l’illégalisme institutionnalisé. Le mot « illégalité » renvoie au concept de normes collectives dont chaque comportement anormal peut être sanctionné. Pour Foucault, les lois ne sont que le produit d’un rapport de force à un instant donné. La population pauvre représente aussi un certain type de menace envers l’ordre social. Pour gérer l’illégalisme populaire, un ensemble de prescriptions vont être remises pour leur permettre de trouver leur place.  
La création de l’État social est la création d’une sphère sociale importante qui va s’occuper de la vie des individus, mais ne peut le faire que si on a normalisé leurs comportements et leur morale. Pour Foucault, nous entrons dans un système répressif qui appartient à l’État, il devient le garant de la sécurité collective. L’État devient le garant de la sécurité sociale, va être construit un système où vont être étendues des prérogatives pour la gestion de l’individu.
À partir du XIXème siècle émerge la naissance de la question sociale, c’est-à-dire le fait que l’on doit traiter l’ensemble des éléments de la société pour lui donner une unité et de la convergence dans ses modes de faire et ses obligations.
Dès lors, la question sociale va d’abord être pensée comme étant opposée aux révolutions.


== Les théories de la solidarité et le paradigme assurantiel ==
Es la entrada en categorías de análisis semántico que definen toda la esfera social y en particular el trabajo. El mejor ejemplo de la creación de un Estado de bienestar a nivel laboral es la invención de la jubilación, que es una contribución filosóficamente importante. Es la invención de la solidaridad intergeneracional. Los individuos muestran solidaridad en general y, si es posible, en ciertas áreas de situaciones intergeneracionales.
Chez [[Les approches en sciences politiques de Durkheim à Bourdieu|Durkheim]], on voit apparaitre l’idée que l’on ne peut penser la société que par la mise en œuvre d’une solidarité collective qui permette à tous les individus de se rassembler autour d’un destin commun. Ce qui n’est pas de l’ordre de la solidarité va être sanctionné au contraire qui est de l’ordre de la solidarité va être approuvé et conforté. Au XIXème siècle, la sphère sociale ne peut que s’agrandir. Elle pose un rapport complexe entre liberté et social, la question de savoir jusqu’où peut-on aller afin de construire la sphère sociale et dans quelle mesure la construction de la sphère sociale comme un champ productif peut aller sans mettre en cause la question de la liberté individuelle.
La solidarité mécanique chez [[Les approches en sciences politiques de Durkheim à Bourdieu|Durkheim]] est la solidarité dans les sociétés premières, cela signifie que les individus sont mécaniquement solidaires les uns des autres.
Au fond, la société moderne qui est une société faite de spécialisation différentielle fait abandonner la solidarité mécanique pour une solidarité organique, c’est-à-dire le fait que nous sommes obligés d’être solidaires malgré le fait qu’il y ait des spécialisations de fonctions et de tâches dans la société.
La promotion du social pose la représentation de la société comme un ensemble avec la mise en place d’un droit social qui mette en pratique la solidarité.
Dans la sphère sociale, il faut gérer les individus, et l’intérêt pour l’État est de mettre en place des politiques : il faut gérer tout ce qui est de l’ordre de la vie privée.
Dans la création du welfare state la question la plus importante est le social. Le plus important est que le social donne lieu à des théories politiques : la théorie du solidarisme.  
Ainsi, Foucault s’interroge sur la notion de société et la nécessité de fabriquer un ordre politique par la solidarité nécessitant de privilégier certaines théories. Si aucune solidarité n’est assurée, c’est l’échec du politique.
Dès lors, ce qui justifie la création de l’État moderne et la construction de l’équilibre interne c’est-à-dire de social. L’État ne peut pas se contenter d’un côté de la sphère du privé et de l’autre de la sphère privé parce que la famille fait partie du social.
Émerge l’État moderne qui est obligé au XIXème siècle de prendre la solidarité comme un élément d’engagement politique et institutionnel.
L’État va se définir à travers la sphère du social comme un État du service public, il doit protéger ses citoyens et ne peut le faire que par la constitution d’un espace de solidarité sociale, c’est-à-dire un espace de pris en compte des différences pour essayer de les amortir et les réduire.  
Les ouvrages qui traitent de la fin de l’État social rappellent qu’à partir du moment où nous entrons dans un monde libéral ou le politique est dépossédé d’une partie de son pouvoir par l’économique, la politique n’a plus le moyen de gérer la sphère sociale, au mieux la donner au privé au pire nous allons rentrer dans de la violence pure au sein de nos sociétés.
Pour Foucault, le social devient un objet de gouvernement, dès lors toute société est obligée de prendre le social comme un objet de gouvernement.
Au XIXème siècle va se développer une économie sociale qui voit apparaitre le gonflement de la responsabilité des États dans le champ social. Entre le XVIIIème siècle, les années 1850 et les années 1950, l’État ne va qu’augmenter ses prérogatives ce qui permet d’expliquer le concept d’État providence, c’est-à-dire que l’État s’est engagé sur des champs de plus en plus développés du fonctionnement de la société au nom de l’intérêt général de cette gouvernementalité,la chose technique doit être gouvernée.
La société devient un enjeu découlant de nombreuses lois sociales (ex– loi sur les accidents du travail : loi sur la solidarité entre ceux qui travaillent et ceux qui sont invalides). La solidarité va étendre le champ de la promotion du social et s’interroge sur de nouveaux domaines fondamentaux (ex – lois sur le logement social).  L’objet fondamental est de réparer les carences de la société : il faut faire attention à ceux qui ne suivent pas le mouvement.
L’État doit être au cœur de la solidarité en tant que service public, il va créer les liens entre les individus et va gérer la contribution de tous pour l’amélioration de l’ensemble de la société : il doit protéger ses citoyens. Le bien-être de chacun est une condition nécessaire pour le fonctionnement du collectif. C’est penser une efficience de l’État et que le progrès et la richesse nationale sont collectifs et individuels se reversant aussi sur la question du collectif.
La sphère du sociale ne fait que grandir et cela jusqu'à la remise en question de la sphère sociale à la fin des années 1980.
À la fin du XIXème siècle va être inventé le concept d’assurance donnant lieu de paradigme assurantiel, c’est fabriquer un nouveau système de pensé autour de l’assurance. 
François Ewald va travailler du point de vue de la philosophie politique. C’est un concept philosophique qui postule que les individus sont liés les uns aux autres. Dès lors dans le travail il y a des obligations respectives liées aux conditions de travail, ainsi Ewald caractérise l’État providence par la naissance d’un nouveau droit : l’assurance est un système sophistiqué de gouvernabilité des sociétés. Pour qu’elle se réalise, il faut qu’auparavant on ait qualifié juridiquement la question des responsabilités. 
Les assurances montrent qu’on rentre dans une société assurantielle qui va être capable d’inventer de nouveaux risques en tant qu’innovation majeure des sociétés contemporaines. Cela signifie que Ewald va étudier un système assurantiel en montrant comment l’invention des assurances se construit par des étapes philosophiques et conceptuelles qui sont  un renversement des sociétés. Dès lors, l’accident n’est plus de l’ordre de la fatalité. Le social peut dès lors être catégorisé juridiquement selon des universalités sociales. On normalise les besoins sociaux autour du concept de sécurité et de réparation. Le droit était miroir de la société et produit des normes à l’usage de tous. Ainsi, la responsabilité devient une question de l’État,c’est l’invention du droit social moderne.
C’est l’entrée dans des catégories d’analyse sémantique qui définissent l’ensemble de la sphère sociale et notamment le travail. Le meilleur exemple de la création du welfare state au niveau du travail est l’invention de la retraite qui est du point de vue philosophique un apport important. C’est l’invention de la solidarité intergénérationnelle. Les individus sont solidaires de façon générale et si possible dans certains domaines de situation intergénérationnelle.


= Vers un nouveau concept : le biopouvoir =
= Hacia un nuevo concepto: bioenergía =
{{Article détaillé|Dominations}}
{{Article détaillé|Dominations}}


À travers l’analyse de la prison et de l’hospice, Foucault postule que la construction de l’État moderne est des normes de bon comportement sociétal qui sont des constructions de dispositifs qui ont pour objectif de gérer un segment thématique de la société et ainsi l’État moderne construit des dispositifs. Les grands dispositifs inventés par l’État moderne au XIXème siècle sont au début répressifs puis vont devenir des dispositifs liés au welfare state.
A través del análisis de la prisión y el hospicio, Foucault postula que la construcción del Estado moderno es una norma de buen comportamiento social que son construcciones de dispositivos que apuntan a gestionar un segmento temático de la sociedad y por lo tanto el Estado moderno construye dispositivos. Los grandes dispositivos inventados por el Estado moderno en el siglo XIX fueron inicialmente represivos y luego se convirtieron en dispositivos del Estado de bienestar.
 
Foucault s’interroge sur ce qui se passe dans l’évolution des sphères. Ce qui apparait aujourd’hui c’est que le politique prend le pouvoir sur la vie de l’homme. À un moment donné, le politique dépasse la gestion des hommes. Il faut étatiser le biologique : l’homme n’est plus pris comme une unité rationnelle, mais comme une entité biologique qu’il faut gérer. C’est le concept de biopolitique.  
Foucault cuestiona lo que está ocurriendo en la evolución de las esferas. Lo que emerge hoy es que la política se hace cargo de la vida del hombre. En algún momento, la política supera la gestión de los hombres. Es necesario hacer de la biología una cuestión de estadidad: el hombre ya no es visto como una unidad racional, sino como una entidad biológica a ser manejada. Es el concepto de biopolítica.
 
Les États-providence sont progressivement obligés de s’immerger au nom de la complexité de la technique de nos sociétés dans des gestions de plus en plus poussées de l’homme qui vont atteindre l’humain en tant qu’être. Dans nos sociétés modernes, c’est l’humain en tant que tel qui finit par poser problème.
Los estados de bienestar se ven obligados gradualmente a sumergirse en nombre de la complejidad de la tecnología de nuestras sociedades en la gestión cada vez más sofisticada de la humanidad que alcanzará al ser humano como ser. En nuestras sociedades modernas, el problema son los seres humanos como tales.
 
Foucault définit le terme biopolitique comme {{citation|la manière de rationaliser les problèmes posés à la pratique gouvernementale par les phénomènes propres à un ensemble de vivants constitué en populations}}<ref>Foucault Michel, « Naissance de la biopolitique », Annuaire du Collège de France, 79e année, Histoire des systèmes de pensée, année 1978-1979, 1979, pp. 367-372</ref>. Le biopolitique est des mécanismes qui vont avoir pour objet de fixer dans la population des équilibres et des mécanismes de sécurité afin d’optimaliser l’état de vie.
Foucault define el término biopolítica como "la forma de racionalizar los problemas planteados a la práctica gubernamental por fenómenos específicos de un grupo de seres vivos constituidos en poblaciones". La biopolítica es un mecanismo que busca establecer equilibrios y mecanismos de seguridad en la población para optimizar el estado de vida.


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Il faut considérer que l’une des directions que prend l’État moderne indépendamment de l’évolution de l’État providence est de définir et de s’occuper de la vie en tant que vie, dès lors, la vie appartient à la gestion du politique. Le biopolitique va dégager une politique de la biologie qui serait même une étatisation de la biologie.
Hay que tener en cuenta que una de las direcciones que el Estado moderno toma independientemente de la evolución del estado de bienestar es definir y cuidar la vida como vida, por lo que la vida pertenece a la gestión de la política. La biopolítica producirá una política de biología que sería incluso una estadización de la biología.
 
On rentre dans une époque où la question fondamentale est la gestion de l’humain. Il y a une nouvelle catégorie de pensée politique qui va se situer à toutes les échelles de la société pour gérer l’homme biologique. Le politique se saisit de l’homme non pas comme un animal qui pense, mais comme un être biologique, dès lors la politique se saisit de notre vie et définit l’homme en terme biologique.
Estamos entrando en un momento en el que la cuestión fundamental es la gestión humana. Hay una nueva categoría de pensamiento político que se situará en todos los niveles de la sociedad para gestionar el hombre biológico. La política se apodera del hombre no como un animal que piensa, sino como un ser biológico, por lo que la política apodera de nuestra vida y define al hombre en términos biológicos.
 
La biopolitique est un système formé autour du biologique (ex- recherche thérapeutique). C’est une diffusion à l’ensemble de la société de microsystème ayant pour objet de fabriquer des mécanismes de régulation dans les populations pour optimiser « l’état de vie ».  
La biopolítica es un sistema formado en torno a la biología (antigua investigación terapéutica). Es una difusión a toda la sociedad de los micro-sistemas con el objetivo de fabricar mecanismos de regulación en las poblaciones para optimizar el "estado de vida".
 
Pour Foucault, le biopolitique est le contraire de la démocratie, car la démocratie est une épaissir qui renvoi à la question du débat. Ainsi la démocratie est du côté de la densité et de l’épaisseur, elle n’est pas du côté de la transparence qui nie le débat et la négociation qui est la richesse de la démocratie. Lorsque Foucault condamne au XIXème siècle la prison est que la prison moderne est la construction d’un espace lisible où tout doit être sous contrôle, l’individu ne doit échapper à la surveillance, ce sont des dispositifs physiques. Le concept de visibilité est à verser non pas de la démocratie, mais du contrôle absolu.  
Para Foucault, la biopolítica es lo opuesto a la democracia, porque la democracia es un engrosamiento del debate. Así pues, la democracia está del lado de la densidad y del espesor, no del lado de la transparencia, que niega el debate y la negociación, que es la riqueza de la democracia. Cuando Foucault condenado en la cárcel del siglo XIX es que la prisión moderna es la construcción de un espacio legible donde todo debe estar bajo control, el individuo no debe escapar de la vigilancia, son dispositivos físicos. El concepto de visibilidad no es democracia, sino control absoluto.
 
Foucault nous interroge sur nos sociétés qui veulent rendre absolument tout visible et lisse. La traçabilité rend la différence comme un problème. Dès lors, l’État moderne est sur la biopolitique, la maîtrise de segment qui permette d’interpréter l’homme en tant que systèmes biologiques. À la différence d’Aristote et Platon qui postulent que l’homme est celui qui a réussi à quitter la biologie pour arriver à penser son animalité et sa différence, la question de la biopolitique devient un concept intéressant pour essayer de relire les nouvelles politiques publiques qui sont bien au-delà de l’homme en tant qu’homme en société.
Foucault nos pregunta sobre nuestras sociedades que quieren hacer todo visible y fluido. La trazabilidad hace la diferencia como un problema. A partir de entonces, el Estado moderno se refiere a la biopolítica, el control de segmentos que permite interpretar a la humanidad como sistemas biológicos. A diferencia de Aristóteles y Platón, que postulan que el hombre es quien ha logrado dejar que la biología piense en su animalidad y diferencia, la cuestión de la biopolítica se convierte en un concepto interesante en un intento de releer las nuevas políticas públicas que van mucho más allá del hombre como hombre en la sociedad.


= Annexes =
= Anexos =
* [http://www.monde-diplomatique.fr/2014/01/AGAMBEN/49997 Comment l’obsession sécuritaire fait muter la démocratie], Giorgio Agamben, janvier 2014, Le Monde diplomatique
* [http://www.monde-diplomatique.fr/2014/01/AGAMBEN/49997 Comment l’obsession sécuritaire fait muter la démocratie], Giorgio Agamben, janvier 2014, Le Monde diplomatique
*La Folie, Victor Duché et Christophe Pénicaut url: http://www.geopsy.com/memoires_theses/la_folie.pdf
*La Folie, Victor Duché et Christophe Pénicaut url: http://www.geopsy.com/memoires_theses/la_folie.pdf


= Références =
= Referencias =
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Version du 18 février 2018 à 23:10

Cuando hablamos de un Estado, estamos hablando de la política y de la conceptualización de los vínculos entre los ciudadanos y la política. La gran cuestión del estado de bienestar es el hecho de que hay una contractualización entre los ciudadanos y los políticos, siendo la política fundamental para la contractualización, el individuo no puede contraerse solo, lo hace con autoridad reconociendo su legitimidad. Pertenecer al Estado moderno significa estar de acuerdo en vincularse a otros individuos por medio de un contrato comprometido, respetado y desarrollado por el Estado moderno y la política.

¿Cómo se formó el Estado moderno?

Los primeros autores fueron griegos y Aristóteles y Platón en particular cuestionaron la "polis", es decir, la gestión de la ciudad (en griego antiguo????????? /pólis;"ciudad" en la etimología latina "civitas"; polis plural). La "polis" no es sólo la política, es decir, el cuerpo político, sino también el lugar simbólico de la política. En la antigua Grecia, la república funciona por el cuerpo político, pero también por un lugar de la política que es el ágora. En la tradición democrática griega, lo que tiene sentido es el debate, es decir, el diálogo que tiene lugar en un lugar específico llamado ágora. Por lo tanto, el debate es la base de la democracia, porque hay un debate y hay democracia. Es la política lo que sucede en el lugar simbólico de la política.

En este cuestionamiento también está el lugar de la democracia y cómo puede constituirse como un estado natural.

La política se desarrolla en un espacio caracterizado por una dimensión específica que es el espacio público; es un lugar de diálogo público, el debate se desarrolla en público. Así, la política en un espacio público se caracteriza por la palabra a partir de la cual fluyen dos nociones, es decir, que es lugar de debate y lugar físico del debate.

Lo que es importante en la propia constitución de la filosofía griega y la democracia griega son estas dos esferas fundamentalmente diferentes.

Las dos esferas de la ciudad griega son:

  • la esfera pública: espacio para compartir;
  • la esfera privada: dominio privado.

Se está construyendo y conceptualizando una frontera entre lo público y lo privado, entendiendo que la esfera pública es el lugar donde se produce el debate democrático y la esfera privada es el dominio de la familia. A menudo, la autoridad se da al cabeza de familia que tiene autoridad en el ámbito privado. Cada individuo vive en todo momento en dos esferas diferentes, la privada y la pública.

Estas dos esferas no son inmutables en su definición, evolucionan según la naturaleza de los sistemas políticos y modos de gobierno. A diferencia de Atenas, que es una democracia, Esparta es una ciudad guerrera; su importante apuesta militar estratégica es hacer la guerra que se caracteriza por una diferencia en el funcionamiento público-privado sobre la base de que un niño a partir de la edad de 12 años es considerado como un futuro militar.

La esfera pública se refiere a todo lo que es el orden de la comunidad y el bien común, es decir, el orden de la comunidad y un destino común con intereses comunes a compartir. Esto puede ir desde la gestión pura de la ciudad a la religión y la educación de los niños, es del orden de la participación común que diferencia los estatutos. El ciudadano es el que puede participar en el espacio público, es el hombre libre el que puede controlar su destino y construir su historicidad oponiéndose al esclavo. Así, en la ciudad ateniense, la esclavitud es una cosa. En la ciudad, la "polis" griega y luego romana abogaba por una distinción de estatus, entre los ciudadanos que pueden participar en el destino colectivo de la ciudad y los que no son libres, que son esclavos que regresan a la esfera privada.

La hipótesis es que para que haya política debe haber un espacio público de intercambio. La "polis" es la entidad que debe gobernar.

Toda democracia necesita necesariamente construir un espacio público, que es el espacio donde el diálogo se encuentra y trasciende el espacio privado. Siempre hay una articulación entre el espacio privado y el público. En el marco de una dictadura, hay lugares que se asemejarán al espacio público que, en términos de funcionalidad, son espacios de manifestación del régimen para concentrar y controlar multitudes para la aprobación de su poder. Sin embargo, en el sentido filosófico, no es un espacio público, porque es imposible debatirlo. De ahora en adelante, la cuestión del espacio público es fundamental para la democracia, lo que resiste en las dictaduras es el espacio público, pero su uso y funcionalidad en términos de uso es diferente del espacio público de la democracia.

Históricamente, existe el espacio privado que es el espacio de la familia y el espacio público en el sentido de la democracia, la gestión del bien común y el pooling.

La asunción de la filosofía política depende de dos esferas. En el siglo XIX aparece una tercera esfera, la esfera social, que interferiría entre lo público y lo privado. A través de la sociedad, está emergiendo un nuevo modo de gobierno.

¿Cómo pasamos de una esfera clásica de gobierno a un sistema de gestión social donde se definen normas colectivas para asegurar la felicidad colectiva?

Lo que permitirá construir los lazos de las esferas es el contrato social: el surgimiento de una filosofía política moderna que estipula que los individuos deben estar vinculados por un contrato.

¿Cuál es la naturaleza de este contrato social que vincula a los individuos?

Teorías clásicas del contrato social

Las teorías clásicas del contrato social debían desarrollarse entre 1579 y 1762, eran fundamentales porque forjarían la teoría política del Estado moderno. Volviendo a la cuestión del contrato social, cabe preguntarse qué es lo que está en el corazón de nuestras democracias, es decir, la contractualización de las relaciones, si no hay contractualización de las relaciones, no hay democracia.

El individuo contrata su relación dentro de la sociedad que define derechos, pero también deberes.

Este es el fundamento de la teoría moderna del estado que presupone un acuerdo con los individuos para contraer algo. En otras palabras, debe haber un pacto entre los ciudadanos y los que tienen derecho a asumir responsabilidades de gestión; es un pacto de convivencia, es decir, un acuerdo necesario entre los individuos que contraen sus relaciones, sus derechos y sus deberes frente a la política que da origen al Estado moderno.

No hay Estado moderno sin un acuerdo, sin la institución de un contrato de Estado soberano. Hay tres elementos básicos del contrato social:

  • Teorías de la ley natural:

Todos los derechos son específicos de los hombres, independientemente de su pertenencia a una sociedad política determinada. Es una lógica del estado de relación entre la naturaleza y la relación con Dios. Es la filosofía que consiste en decir que en el estado de la naturaleza hay obligaciones que incumben entre sí. El hombre debe tener conducta bajo el peso de la religión.

  • El contrato social:

una herramienta técnica con un alcance jurídico que establece las condiciones y normas de convivencia. Es necesario elaborar una herramienta jurídica y, por lo tanto, normativa que establezca las condiciones de regulación de la convivencia. Esta herramienta técnica explica cómo funciona la convivencia.

  • El principio de soberanía:

El Estado es una forma y estructura, tiene límites que establecen el marco de la autoridad. Existe la institución de una estructura que establecerá el marco para su autoridad y unidad. Así pues, ¿qué imperio de la ley debería construirse para facilitar el contrato social y qué relación deben tener los individuos con él?

El contrato social significa tres cosas: la gestión de la ley natural, luego un contrato social que cambiará o desarrollará la ley natural en el marco de una contractualización y finalmente una constitución del Estado moderno con el principio de soberanía en el marco de un Estado moderno con responsabilidades y obligaciones.

Grotius y el contrato social

Según Grotius, lo primero y más importante es que es necesario examinar el derecho natural planteando la cuestión de la necesidad de un contrato social. Debemos conectar la ley natural, la ley divina como criaturas de Dios, debemos sacar la animalidad y conectar la ley natural para evitar caer en la animalidad creando un contrato social para la creación del estado moderno.

Para Grotius, el contrato social debe aplicarse a todos. Considera la sociedad como un todo. Debe haber continuidad entre la ley natural, el contrato social y la soberanía. El contrato social permite perpetuar el derecho natural.

Grotius imagina el hecho de que es posible transferir el derecho natural a un derecho estatal para salir de la animalidad es dar al hombre las condiciones para vivir en paz, en armonía y honrar a Dios.

En el contrato, definió la idea de una transferencia de gobernantes a los gobernadores. Todo el mundo debe renunciar a una parte de sus responsabilidades para poder aceptar la constitución de un Estado soberano que nos gobernará.

Este contrato se pondrá en marcha en dos fases: la asociación voluntaria, la renuncia a una parte de nuestras responsabilidades y el consentimiento. Esto significa que desde el momento en que uno aceptaba voluntariamente ceder parte de sus responsabilidades al Estado, aceptaba voluntariamente la sujeción, es decir, la aceptación de una relación de dependencia o relación con el Estado.

En particular, Etienne de la Boétie redactó un tratado sobre la servidumbre voluntaria, que es el acto de acordar depender de la dependencia voluntaria, es decir, abandonar parte de sus prerrogativas al Estado, lo que le da la capacidad de gestionarlas colectivamente para la sociedad.

Por lo tanto, para Grotius, es posible transferir del derecho individual a un derecho gubernamental al que llega el documento contractual. Por lo tanto, el contrato significa aceptación y consentimiento del acuerdo.

Si los individuos han aceptado voluntariamente renunciar a sus derechos, entonces la forma de gobierno que se deriva de ellos retendrá y estructurará el derecho natural divino.

Hobbes y el contrato social

Le frontispice du « Leviathan » est l'œuvre du graveur Abraham Bosse.

Thomas Hobbes considera que el estado de la naturaleza es un estado de conflicto y violencia, por lo que parte de la hipótesis de que básicamente no hay voluntad positiva de reunirse, sino que se ven obligados a unirse por su egoísmo y no porque quieran vivir juntos. Es una paradoja, porque los individuos están obligados a hacerlo, básicamente si se ven obligados a hacerlo, siempre existe la posibilidad de continuar la guerra y el conflicto para que recobren el sentido común a través del egoísmo latente y no de la ideología democrática.

La cuestión fundamental es la definición de un contrato social, porque esto es lo que permitirá concebir la paz y superar el mal. En la teoría de Hobbes, hay una oposición a Grotius, no para decir que hay una transferencia de la ley natural a través del contrato, pero el contrato es el modo de violación de la ley natural sobre la base de que parte de sus derechos naturales deben ser cedidos a la comunidad.

Por lo tanto, es necesario transferir formas individuales de actuar hacia un Estado aceptando la limitación de sus derechos en el Estado moderno, el Estado será gestor de la seguridad colectiva para darle la responsabilidad de garantizar la paz colectiva, lo que implica el abandono de una parte de los derechos naturales.

En otras palabras, dependiendo de la posición del estado de la naturaleza, el contrato social no se hará por un deseo colectivo de paz, sino por una gestión egoísta de los intereses.

Así pues, Grotius reflexiona sobre la cesión:

  • Consenso: los individuos acuerdan colectivamente renunciar a sus derechos naturales para contribuir a una acción única;
  • Unión: varias voluntades se unen en una sola, es la agrupación en torno a una única voluntad la que promueve la unión.

A través de estos modelos, está en juego la naturaleza del contrato social.

Lo que es importante en la teoría de Hobbes es el concepto de reciprocidad, debemos ceder algunas de las responsabilidades al Estado a cambio del cual éste debe garantizar la gestión de lo que se ha abandonado. Así pues, la democracia es el mejor sistema político porque favorece la contractualización de las relaciones. Para recuperar los derechos abandonados en otra forma, la democracia es la forma política más interesante porque asegura que el pueblo conserve la elección de lo que ha concedido.

Hobbes va más allá de Grotius al describir dos aspectos importantes del contrato social:

  • Para garantizar la seguridad exterior en el marco del Estado soberano, debe proteger a todos sus ciudadanos en caso de conflicto,
  • Por otro lado, plantea la idea de la seguridad interna, porque el Estado debe garantizar lo externo, pero también debe producir el contrato para producir un bien para toda la población.

En la teoría del contrato social, existe también la idea de la contractualización de la relación entre el Estado y los individuos para garantizar sus necesidades básicas.

Pufendorf y el contrato social

Pufendorf fue diplomático y jurista alemán, eliminará todo discurso teológico al eliminar la religión del contrato social diciendo que "los hombres deben ser gobernados por leyes positivas que permitan construir esta nueva soberanía".

Por lo tanto, vamos a llegar a un contrato doble que es en primer lugar la convención, es decir, el hecho de que los individuos acepten colectivamente renunciar a sus derechos, entonces es la asamblea de contratistas la que reflexiona sobre la democracia.

El primer contrato es un contrato es un contrato consensualista de abandono de las libertades, el segundo contrato es la elección del soberano que debe hacerse por acuerdo contractual e intercambio de promesas mutuas.

Así, Pufendorf se atrevió a preguntarse cómo construir un nuevo poder soberano. Evacúa el discurso teológico para distinguir entre leyes naturales, reveladas (leyes de Dios) y positivas. Éstos permiten el desarrollo del espacio público.

Jean-Jacques Rousseau y el contrato social

La teoría inicial es que el hombre natural no es ni bueno ni malo, está en un estado de ignorancia, su única virtud es la piedad de tener que satisfacer las necesidades primarias. Lo que ha causado que la humanidad cambie del estado de la naturaleza es la propiedad privada.

En la filosofía política de Rousseau, en la sociedad civil, el mayor mal es la propiedad privada, que ha introducido diferencias entre individuos que han creado desigualdades. A partir de entonces, toda la historia de la construcción de la sociedad moderna establece la construcción de la desigualdad a través de la propiedad que ha llevado a la creación de profundas brechas en la riqueza.

Las revoluciones técnicas han exacerbado las desigualdades. La interrupción de la igualdad ha provocado desorden, competencia, rivalidad y explotación. De ahora en adelante, el despotismo es la toma de cierta riqueza por algunos.

Debemos tener cuidado con el falso contrato social que los ricos buscan contraer con los pobres a quienes él busca dominar.

El verdadero contrato social es el que podría plantear la cuestión de la voluntad general frente a los intereses privados, que son intereses particulares, mientras que la voluntad general debe ser colectiva. Rousseau plantea la cuestión del interés general y del espacio público. Lo que permitirá regular y salir del falso contrato social es la reconstitución del espacio público.

Sin la base del espacio público, no puede haber regreso a la moralidad y el retorno de la ley.

El contrato social según Rousseau es la unión de fuerzas en torno a dos nociones: libertad y destino colectivo. El contrato social no está necesariamente del lado de la fuerza, sino del lado de la protección y de la negociación, sino del lado de un intercambio aventurero y ventajoso. Lo que está en el centro es mantener la libertad de todos en un marco colectivo de intercambio.

El buen gobierno es lo que se hace con las personas en el marco de la contractualización, ya que las personas están a favor del contrato social, lo que lleva a un pensamiento global del contrato social.

La constitución del Estado providencial

El advenimiento de lo social

Arendt dirá que el advenimiento de lo social coincide históricamente con la transformación del interés público con lo que antes era una competencia con el interés privado.

Para Arendt, lo social es vivir en sociedad, en la teoría política clásica no hay conceptualización de lo social, no hay reconocimiento de la vida social. Por un lado, están los "políticos" (Πολιτικός, Politikos), del otro hay familia de « oikos » (del griego antiguo οἶκος, « casa », « patrimonio ») que es privación y retroceso, es un espacio atrasado donde el exterior no puede mirar a la familia.

La Edad Media se caracterizará por una extensión del dominio privado; el gran punto de inflexión es la era moderna, es decir, los siglos XVI, XVII y XVIII, porque el surgimiento de la esfera de la esfera social, que es el cambio de lo privado a lo social, de lo íntimo a lo social. La familia entra en una economía productiva, se convierte en una unidad de producción, ya no es sólo propiedad privada, sino tener con una estaca relacionada la cuestión pública.

El capitalismo produce nueva riqueza; en la revolución industrial, las condiciones de los individuos se vuelven más pobres, marcando una disfunción de la sociedad con muchos problemas (huelgas, revoluciones pandémicas, etc.). Los industriales y luego el Estado cuestionan lo social (antiguos niños en la minería) y las apuestas que representan.

A partir de entonces, la familia se convirtió en una unidad de producción y la educación en un tema público. A partir de los siglos XVI y XVIII, la esfera privada disminuirá en favor de una tercera esfera, que es la esfera social o la esfera privada se ve limitada porque se opone a la política y a la esfera social.

Lo social se está convirtiendo en central para la preocupación del espacio público sobre la base de que si no se gestiona lo social, nos topamos con catástrofes sociales. La sociedad se convierte en una cuestión estratégica de gobierno. La cuestión no es ya tener un espacio público de gobierno, sino la necesidad de gestionar la sociedad.

Es una revolución porque la esfera social altera el cursor entre el espacio público y el privado.

La familia era inherentemente propiedad privada. Arendt muestra que hay un advenimiento social con un nuevo referente. Es la reinterpretación de la familia no como un objeto privado, sino como una unidad de producción. Por lo tanto, la educación se convierte en un tema público que hace referencia a la capacidad de futuro de la propia sociedad. La esfera privada se convierte en la esfera de interés general.

Arendt postula que esta agitación vendría de Rousseau, porque él sería el primero en asumir el cambio de lo privado a lo social. El período comprendido entre los siglos XVI y XVIII se caracteriza por una disminución de la representación del peso de la familia en la sociedad.

Aparece un tercer hecho y la empresa exigirá rendición de cuentas. Se procurará establecer normas públicas que generen políticas. Los grupos sociales se verán absorbidos por la interpretación de una sola sociedad: es el nuevo ámbito de gobernanza el que pone en juego la emergente autoridad pública a través de una serie de mecanismos de gestión de la sociedad.

A partir de ahí surge un ámbito social, un ámbito social contractual que exigirá la responsabilidad de la familia. Ahora que la familia ya no forma parte de la esfera privada, debemos rendir cuentas de lo que ocurre en el interior. El fenómeno de la transferencia es importante porque hay reglas para todo lo que se promulga, porque las poblaciones son absorbidas por la esfera social que caracteriza el nacimiento del Estado moderno sobre la representación del Estado social como colectividad.

Arendt hizo posible poner la estructura teórica sobre el advenimiento de lo social en su obra titulada la condición del hombre moderno.

Control social: locura y crimen

Michel Foucault.

Michel Foucault es un filósofo del pensamiento que ha trabajado en la sociedad moderna. Estudia la genealogía del conocimiento. Se postula que las sociedades se construyen por un conjunto de conocimientos y técnicas, para entender la sociedad hay que analizarla no como algo intangible, sino como construcciones de sociedades.

La sociedad tiene un conocimiento que contiene una historia. Nos permiten comprender el funcionamiento de la sociedad actual y lo que ha cambiado los registros de análisis para analizar la sociedad como una construcción social.

Para Foucault, las sociedades en las que vivimos han desarrollado sistemas que son modos de gobierno, pero en realidad son sólo la forma en que la sociedad se representa a sí misma.

El interés de Foucault es distanciar nuestros comportamientos para analizarlos histórica y culturalmente.

Foucault realiza esta arqueología a partir de dos instituciones específicas, el hospital y la cárcel, que son dos grandes instituciones de los siglos XVIII y XIX. Escribió dos libros sobre este tema: From Madness to the Classical Age in 1961, y Monitoring and Punishing: The History of Prison in 1964.

Se trata de una pregunta sobre el sótano de conocimiento y equipamiento, ya que la prisión y el hospital general son instalaciones que estructuran la ciudad. Lo hará especialmente en torno a la construcción del conocimiento médico entre los siglos XVI y XIX, preguntándose cómo la locura se convirtió en un concepto operativo en la sociedad. Así la locura se sitúa como representación.

Estudia los mecanismos del poder: el poder fabrica equipos y en realidad tienen la función de crear un marco social disperso por toda la sociedad.

La locura

Es una construcción social y política. Nos coloca en el lado de las representaciones y nos permite identificar lo que es normativo. En la Edad Media, mientras Dios exista, el necio es inocente según la voluntad divina, desde entonces la locura es una creación de Dios. El loco lleva en su interior una sencillez de espíritu cualificada por Dios y derivada de un misterio que sostiene que no debe ser maltratado. Porque es inocente, tiene un espíritu de tolerancia. La relación entre el hombre razonable y la locura es compasiva. La morfología de la presencia de la locura reside en el pueblo.

A partir del siglo XVII, el paradigma de la locura se puso del lado de la locura". La locura está dentro de lo razonable "no viene de otra parte, sino de nuestro mundo". Tan pronto como Dios es evacuado, la locura es removida de la razón convirtiéndose en exterioridad. La locura es enfermedad. Es así que la medicina toma este objeto como un objeto científico y encuentra razones endógenas, es una fabricación de las instituciones de la enfermedad.

En particular, surgirá una institución de locura y separación (el hospital psiquiátrico), es decir, un equipo general que permita al loco ser exiliado de la sociedad de hombres libres establecida por el Estado moderno.

Es la invención moderna del internamiento, el loco es internado, lo que logra la ruptura de la razón y la irracionalidad, es la invención moderna del aislamiento. Describe un proceso de fabricación por parte de las empresas modernas de un sistema normativo que cambia los umbrales de tolerancia.

Foucault muestra que cuando la sociedad introduce herramientas de lectura específicas, el Estado moderno mismo instrumentalizará el tema buscando herramientas técnicas.

La cárcel

Al principio, era una política de tortura o el acusado debe ser penalizado físicamente. Puede que en algunos casos haya sido un lugar de privilegio para los ricos. Vamos a pasar de una pena de castigo a una pena de defensa, donde la prisión va a ser un lugar de reclusión o la estaca está lejos del cuerpo, es decir, la retirada de la sociedad. Ya no es más el castigo del cuerpo, sino el del alma para bloquear a un individuo en aislamiento. La prisión moderna funciona sobre: aislamiento individual, trabajo y la variabilidad de la sentencia. Básicamente, la prisión es lo opuesto a la sociedad, es oscuridad. La prisión es la invención del ilegalismo institucionalizado. La palabra "ilegalidad" se refiere al concepto de normas colectivas en las que todo comportamiento anormal puede ser castigado. Para Foucault, las leyes son sólo el producto de un equilibrio de poder en un momento dado. Los pobres también representan un cierto tipo de amenaza para el orden social. Para manejar el ilegalismo popular, se les dará un conjunto de prescripciones que les permitan encontrar su lugar.

La creación del Estado social es la creación de una importante esfera social que se ocupará de la vida de las personas, pero sólo podrá hacerlo si se normalizan su comportamiento y su moralidad. Para Foucault, entramos en un sistema represivo que pertenece al Estado, se convierte en garante de la seguridad colectiva. El Estado se convierte en el garante de la seguridad social, se construirá un sistema donde se ampliarán las prerrogativas para la gestión del individuo.

A partir del siglo XIX surgió el nacimiento de la cuestión social, es decir, el hecho de que todos los elementos de la sociedad debían ser tratados para darle unidad y convergencia en sus modos de hacer y obligaciones.

A partir de entonces, la cuestión social se considerará en primer lugar como opuesta a las revoluciones.

Teorías de la solidaridad y el paradigma del seguro

En Durkheim surge la idea de que sólo se puede pensar en la sociedad a través de una solidaridad colectiva que permita que todos los individuos se unan en torno a un destino común. Lo que no es del orden de la solidaridad será sancionado por el contrario, lo que es del orden de la solidaridad será aprobado y fortalecido. En el siglo XIX, la esfera social sólo puede expandirse. Plantea una compleja relación entre libertad y lo social, la cuestión de hasta dónde podemos llegar para construir la esfera social y hasta qué punto la construcción de la esfera social como campo productivo puede ir sin cuestionar la cuestión de la libertad individual.

La solidaridad mecánica en Durkheim es solidaridad en las primeras sociedades, lo que significa que los individuos son mecánicamente solidarios entre sí.

Básicamente, la sociedad moderna, que es una sociedad de especialización diferencial, nos hace abandonar la solidaridad mecánica en favor de la solidaridad orgánica, es decir, el hecho de que estamos obligados a ser solidarios a pesar de que hay especializaciones de funciones y tareas en la sociedad.

La promoción del sector social representa a la sociedad en su conjunto con el establecimiento de una ley social que ponga en práctica la solidaridad.

En el ámbito social, es necesario gestionar a las personas y el interés del Estado es poner en marcha políticas: es necesario gestionar todo lo que concierne a la privacidad.

En la creación del estado de bienestar, el tema más importante es el social. Lo más importante es que lo social da lugar a teorías políticas: la teoría de la solidaridad.

De este modo, Foucault se pregunta sobre la noción de sociedad y la necesidad de crear un orden político a través de la solidaridad, que exige privilegiar ciertas teorías. Si no hay solidaridad, es el fracaso de la política.

Esto justifica la creación del Estado moderno y la construcción de un equilibrio interno, es decir, social. El Estado no puede estar satisfecho por un lado de la esfera privada y por el otro del ámbito privado porque la familia es parte de la sociedad.

Surge el Estado moderno, que en el siglo XIX se vio obligado a asumir la solidaridad como elemento de compromiso político e institucional.

El Estado se definirá a través de la esfera social como un Estado de servicio público, debe proteger a sus ciudadanos y sólo puede hacerlo creando un espacio de solidaridad social, es decir, un espacio donde las diferencias se tengan en cuenta en un intento de amortiguarlas y reducirlas.

La literatura sobre el fin del estado social nos recuerda que desde el momento en que entramos en un mundo liberal donde la política es desposeída de parte de su poder a través de la economía, la política ya no tiene los medios para manejar la esfera social, en el mejor de los casos para dársela al sector privado en el peor de los casos, entraremos en una violencia pura en nuestras sociedades.

Para Foucault, lo social se convierte en un objeto de gobierno, ya que toda sociedad está obligada a tomar lo social como un objeto de gobierno.

En el siglo XIX, se desarrollaría una economía social que acentuaría la responsabilidad de los Estados en el ámbito social. Entre el siglo XVIII, los años 1850 y 1950, el Estado sólo aumentará sus prerrogativas, lo que explica el concepto de Estado del bienestar, es decir, el Estado se ha comprometido a desarrollar cada vez más los campos del funcionamiento de la sociedad en nombre del interés general de esta gobernación, la cosa técnica debe ser gobernada.

La sociedad se convierte en un tema que surge de muchas leyes sociales (anteriormente la Ley de Compensación de Trabajadores: ley de solidaridad entre los que trabajan y los discapacitados). La solidaridad ampliará el alcance de la promoción social y planteará preguntas sobre nuevas áreas fundamentales (por ejemplo, las leyes sobre la vivienda social). El propósito fundamental es reparar las deficiencias de la sociedad: debemos tener cuidado con los que no siguen el movimiento.

El Estado debe estar en el corazón de la solidaridad como servicio público, debe crear vínculos entre los individuos y gestionar la contribución de todos a la mejora de la sociedad en su conjunto: debe proteger a sus ciudadanos. El bienestar de cada individuo es una condición necesaria para el funcionamiento del colectivo. Es pensar en la eficiencia del Estado y que el progreso y la riqueza nacional son colectivos e individuales, lo que también revierte a la cuestión del colectivo.

La esfera social sólo está creciendo, hasta que a finales de los años ochenta se cuestionó la esfera social.

A finales del siglo XIX se inventó el concepto de seguro, dando lugar a un paradigma asegurador, es decir, construir un nuevo sistema de pensamiento en torno al seguro.

François Ewald trabajará desde el punto de vista de la filosofía política. Es un concepto filosófico que asume que los individuos están relacionados entre sí. A partir de ahí en adelante, en el trabajo hay respectivas obligaciones relacionadas con las condiciones de trabajo, por lo que Ewald caracteriza al Estado del bienestar por el nacimiento de una nueva ley: el seguro es un sistema sofisticado de gobierno corporativo. Para que esto suceda, la cuestión de la responsabilidad debe estar legalmente calificada.

Las compañías de seguros demuestran que forman parte de una compañía de seguros que será capaz de inventar nuevos riesgos como una gran innovación en las sociedades contemporáneas. Esto significa que Ewald estudiará un sistema de seguros mostrando cómo la invención del seguro se construye por pasos filosóficos y conceptuales que son una inversión de las sociedades. A partir de entonces, el accidente ya no era inevitable. Por lo tanto, lo social puede ser clasificado legalmente de acuerdo con la universalidad social. Las necesidades sociales se normalizan en torno al concepto de seguridad y reparación. La ley era un espejo de la sociedad y producía normas para todos. Así, la responsabilidad se convierte en una cuestión de Estado, es la invención del derecho social moderno.

Es la entrada en categorías de análisis semántico que definen toda la esfera social y en particular el trabajo. El mejor ejemplo de la creación de un Estado de bienestar a nivel laboral es la invención de la jubilación, que es una contribución filosóficamente importante. Es la invención de la solidaridad intergeneracional. Los individuos muestran solidaridad en general y, si es posible, en ciertas áreas de situaciones intergeneracionales.

Hacia un nuevo concepto: bioenergía

Article détaillé : Dominations.

A través del análisis de la prisión y el hospicio, Foucault postula que la construcción del Estado moderno es una norma de buen comportamiento social que son construcciones de dispositivos que apuntan a gestionar un segmento temático de la sociedad y por lo tanto el Estado moderno construye dispositivos. Los grandes dispositivos inventados por el Estado moderno en el siglo XIX fueron inicialmente represivos y luego se convirtieron en dispositivos del Estado de bienestar.

Foucault cuestiona lo que está ocurriendo en la evolución de las esferas. Lo que emerge hoy es que la política se hace cargo de la vida del hombre. En algún momento, la política supera la gestión de los hombres. Es necesario hacer de la biología una cuestión de estadidad: el hombre ya no es visto como una unidad racional, sino como una entidad biológica a ser manejada. Es el concepto de biopolítica.

Los estados de bienestar se ven obligados gradualmente a sumergirse en nombre de la complejidad de la tecnología de nuestras sociedades en la gestión cada vez más sofisticada de la humanidad que alcanzará al ser humano como ser. En nuestras sociedades modernas, el problema son los seres humanos como tales.

Foucault define el término biopolítica como "la forma de racionalizar los problemas planteados a la práctica gubernamental por fenómenos específicos de un grupo de seres vivos constituidos en poblaciones". La biopolítica es un mecanismo que busca establecer equilibrios y mecanismos de seguridad en la población para optimizar el estado de vida.

Hay que tener en cuenta que una de las direcciones que el Estado moderno toma independientemente de la evolución del estado de bienestar es definir y cuidar la vida como vida, por lo que la vida pertenece a la gestión de la política. La biopolítica producirá una política de biología que sería incluso una estadización de la biología.

Estamos entrando en un momento en el que la cuestión fundamental es la gestión humana. Hay una nueva categoría de pensamiento político que se situará en todos los niveles de la sociedad para gestionar el hombre biológico. La política se apodera del hombre no como un animal que piensa, sino como un ser biológico, por lo que la política apodera de nuestra vida y define al hombre en términos biológicos.

La biopolítica es un sistema formado en torno a la biología (antigua investigación terapéutica). Es una difusión a toda la sociedad de los micro-sistemas con el objetivo de fabricar mecanismos de regulación en las poblaciones para optimizar el "estado de vida".

Para Foucault, la biopolítica es lo opuesto a la democracia, porque la democracia es un engrosamiento del debate. Así pues, la democracia está del lado de la densidad y del espesor, no del lado de la transparencia, que niega el debate y la negociación, que es la riqueza de la democracia. Cuando Foucault condenado en la cárcel del siglo XIX es que la prisión moderna es la construcción de un espacio legible donde todo debe estar bajo control, el individuo no debe escapar de la vigilancia, son dispositivos físicos. El concepto de visibilidad no es democracia, sino control absoluto.

Foucault nos pregunta sobre nuestras sociedades que quieren hacer todo visible y fluido. La trazabilidad hace la diferencia como un problema. A partir de entonces, el Estado moderno se refiere a la biopolítica, el control de segmentos que permite interpretar a la humanidad como sistemas biológicos. A diferencia de Aristóteles y Platón, que postulan que el hombre es quien ha logrado dejar que la biología piense en su animalidad y diferencia, la cuestión de la biopolítica se convierte en un concepto interesante en un intento de releer las nuevas políticas públicas que van mucho más allá del hombre como hombre en la sociedad.

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Referencias